Dans le Morbihan, nos maisons en pierre ont du caractère… mais aussi leurs problèmes d'isolation. Voici les signaux d'alerte à ne pas ignorer.

1. Vos murs en pierre restent froids et humides

Les maisons bretonnes typiques – ces belles bâtisses en granit qu'on trouve autour de Vannes (56000), Baden (56870) ou Arradon (56610) – ont un souci récurrent : les murs restent froids au toucher, même quand le chauffage tourne. Sans isolation adaptée, vous chauffez les murs plutôt que l'intérieur.

Signes typiques : sensation de paroi froide, papier peint qui se décolle, odeur de renfermé, facture de chauffage qui grimpe.

2. L'étage est glacial alors que le salon va bien

5 degrés de moins à l'étage ? C'est le signe d'une toiture mal isolée. Dans les maisons des années 60-80 du golfe, les combles ont souvent été aménagés sans véritable isolation. Le toit représente jusqu'à 30% des pertes de chaleur.

Signes typiques : en été, impossible de dormir à l'étage dès juin ; traces de condensation sur les Velux le matin ; facture qui explose en hiver.

3. Le rez-de-chaussée reste froid en permanence

Beaucoup de maisons bretonnes ont une cave en terre battue, un vide sanitaire ancien, ou sont directement sur dalle. Sans isolation par le bas, vos pieds restent gelés même avec le chauffage à fond. C'est typique des anciennes fermes, longères et maisons de bourg à Vannes, Auray ou Pluvigner.

4. Vous sentez l'air circuler… fenêtres fermées

Un léger courant d'air près d'une fenêtre, d'une porte ou au pied d'un escalier ? Ces fuites représentent parfois 20% de vos pertes énergétiques.

Coupables habituels : anciennes menuiseries en bois, portes de garage sans joint, trappes d'accès aux combles, conduits de cheminée ouverte.

5. De la moisissure apparaît dans les angles

Avec notre taux d'humidité élevé en Bretagne, une maison mal isolée devient vite un terrain favorable à la condensation. Murs froids + air chaud intérieur = moisissure.

Où chercher : derrière les armoires contre un mur extérieur, dans les angles des chambres à l'étage, autour des fenêtres. C'est un vrai sujet de santé et de dégradation du bâti.

Que faire si vous reconnaissez ces signes ?

Pas de panique. Ces situations sont courantes et se corrigent. L'essentiel, c'est de ne pas bricoler dans tous les sens.

D'abord : comprendre où sont les vraies faiblesses

Avant de lancer des travaux, il faut un diagnostic honnête. Une longère en pierre ne se traite pas comme un pavillon des années 80. Un audit énergétique permet de poser le bon diagnostic et d'éviter les erreurs coûteuses.

Ensuite : prioriser selon votre situation

Si le froid domine : on commence par le toit et l'étanchéité à l'air. Si c'est l'humidité : il faut coupler isolation + ventilation. Pour une maison de caractère : l'isolation doit respecter le bâti ancien (matériaux perspirants).

Comment je vous accompagne

Mon rôle de courtier en travaux, c'est de vous éviter les fausses routes.

Je vous aide à :

  • Clarifier votre besoin réel – Pas de discours commercial. On fait le point : qu'est-ce qui vous gêne ? Quel budget ? Quelle priorité ?
  • Éviter les pièges – Mauvais choix d'isolation, ventilation oubliée, isolant inadapté au bâti ancien.
  • Sélectionner les bonnes entreprises – Je connais les artisans sérieux du secteur Vannes-Auray-Pontivy qui maîtrisent le bâti breton.
  • Coordonner le chantier – Un seul interlocuteur plutôt que de jongler entre tous les corps de métier.
  • Optimiser les aides – MaPrimeRénov', CEE, éco-PTZ… je vous oriente vers vos droits.

Le résultat : une maison transformée

Quand l'isolation est bien faite, le changement est immédiat : température stable, moins de courants d'air, humidité régulée, facture qui baisse de 20 à 40%. Mais surtout : vous retrouvez le plaisir d'être chez vous.

Parlons de votre maison

Si ces signes vous parlent, ne laissez pas traîner. Je vous propose un premier échange gratuit et sans engagement pour faire le point sur votre situation.